Attendre que le voisin brûle… vraiment?
Soyons honnêtes : la plupart des entreprises, et en particulier les concessionnaires automobiles, restent les bras croisés en espérant que la tempête Loi 25 passe sans les toucher. L’idée? Observer qui tombera en premier, voir si un concurrent se fera épingler pour une violation de données, et surtout… ne rien faire tant que l’orage ne gronde pas directement au-dessus de leur toit. Une stratégie brillante? Non. Un pari risqué? Absolument.
Se conformer, une “dépense inutile”?
Il est fascinant de voir à quel point certains considèrent encore la conformité comme un fardeau, une dépense futile qu’ils éviteront à tout prix – jusqu’à ce qu’ils soient pris au piège. Pourtant, les risques sont bien réels : des amendes salées, une réputation ruinée et la perte de confiance des clients. Mais non, plutôt que d’agir, on préfère attendre que le gouvernement sorte le bâton.
Le pistolet sur la tempe, ça vous parle?
Ce n’est qu’une question de temps avant que la Loi 25 frappe fort. Les premières sanctions viendront, et elles ne seront pas tendres. Quand la Commission d’accès à l’information du Québec commencera à distribuer des amendes de plusieurs millions, que direz-vous à vos clients? “Désolé, on pensait que ça arriverait seulement aux autres”? Bonne chance pour reconstruire votre crédibilité après ça.
Une décision simple : Agir ou subir
Le choix est clair : vous conformer maintenant ou payer le prix plus tard. Attendre que le voisin se fasse prendre ne vous sauvera pas. Ce qui vous sauvera, c’est une vraie démarche de protection des données, une politique claire et des actions concrètes.
Ne vous réveillez pas avec un avis de sanction en pleine face. Prenez les devants dès maintenant.
Besoin d’un coup de main? Contactez-moi avant qu’il ne soit trop tard.
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